vendredi 15 juillet 2011

L'aromathérapie, réponse "multifactorielle" par excellence

Une personne sujette à l'asthme, sur prescription médicale, peut acheter un aérosol (marque très répandue que je ne citerai pas) et débourser moins d'un euro. Dans bien des cas, ce genre d'ustensile se révèle bien utile et peut même sauver des vies. Dans la plupart des cas, il est le recours forcé à une solution strictement suppressive : les symptômes sont anéantis comme par magie et la vie peut poursuivre son cours. Au prix d'un usage immodéré, le faux miracle réclame au passage son dû d'effets secondaires sur le système nerveux (tremblements) et sur le rythme cardiaque (tachycardie dans le meilleur des cas).
Or, l'asthme demande aussi que soit mis en oeuvre un traitement qui arrive à prendre le mal à la racine, logée au plus profond de nos cellules et de notre mémoire émotionnelle. L'asthme est par excellence une condition qui révèle un déséquilibre de notre terrain où s'entremêlent des facteurs immunitaires, émotionnels et de pollution, facteurs s'entretenant d'ailleurs les uns les autres. L'appréhension de la crise devient elle-même un facteur objectif. La peur, vous le savez, est créatrice.
L'aromathérapie est bien placée pour résoudre ce problème durablement. Que ce soit par l'interface respiratoire (à l'aide d'un diffuseur) ou par l'interface cutané, un mélange approprié d'huiles essentielles sera utilisé aussi régulièrement que possible. Le mélange "Ouverture" de Bioflore permet tout à la fois :
- d'ouvrir la respiration et d'amplifier durablement le réflexe respiratoire
- de désensibiliser le terrain
- d'exercer un effet anti-inflammatoire et anti-histaminique
- d'agir sur notre mémoire émotionnelle ancienne, et d'arriver à l'apprivoiser
- de modérer notre réactivité émotionnelle et d'en garder la maîtrise.
Les résultats que nous en observons sont prometteurs. Il suffit de savoir que si l'on choisit la diffusion, une méthode modérée vaut toujours mieux, comme la nébulisation ultrasonique. Une nébulisation trop forte, du type venturi, risquerait de faire plus de tort que de bien, à moins d'être capable de maîtriser cette technique par des plages de fonctionnement assez courtes. L'intensité est inutile sur un sujet sensible.
Des expérimentations ont été faites avec des mélanges assez proches, mais répondant aux mêmes critères. Si vous êtes intéressés de les connaître, je vous les communiquerai bien volontiers : l'aroma a plus d'une corde à son arc.
Les médecins décrivent l'allergie et l'asthme comme des conditions "multifacorielles". Ne vous contentez donc pas d'en "traiter" les symptômes, au risque de maltraiter le sujet au passage.